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L’innovation dans l’ADN de la marque
Depuis plus de 120 ans Oticon a eu de cesse d’innover pour mener à bien sa mission : changer la vie des malentendants grâce à des technologies dernier cri. Pour s’en donner les moyens, la marque a décidé de construire son propre centre de recherche afin de toujours rester à l’avant-garde des possibilités technologiques de demain.
Dédié à étudier non seulement l’audition mais tout ce qui touche de près ou de loin les personnes atteintes de perte auditive, le centre de recherche aborde, depuis sa création en 1976, des sujets comme la psychoacousie, les neurosciences ou encore la communication comportementale humaine.
Ces investissements en R&D ont conduit la marque à de nombreuses avancées technologiques, devenant des premières mondiales une fois appliquées aux appareils auditifs développés par les ingénieurs Oticon en collaboration avec les chercheurs du centre de recherche.
Quelques exemples :
- Le premier appareil numérique au monde dans les années 1990 (Oticon Digifocus)
- La première aide auditive prouvant scientifiquement qu’elle a un effet bénéfique sur le cerveau, s’ouvrant au son en 360° et rendant le principe de directivité caduque (Oticon Opn)
- Le premier Réseau Neuronal Profond embarqué dans une aide auditive – actuellement le plus haut niveau d’intelligence artificielle, aussi connu sous le terme deep learning. (Oticon More)
- Récemment, le premier appareil au monde doté de capteurs d’intention d’écoute s’adaptant au comportement de l’utilisateur et utilisant un réseau neuronal profond de seconde génération (Oticon Intent).
En effet, c’est à Eriksholm que l’une des découvertes majeures de ces 10 dernières années en audiologie a eu lieu. Les chercheurs du centre ont mis en évidence le besoin pour le cerveau d’accéder à l’ensemble de la scène sonore sur 360° pour travailler de façon optimale et réduire considérablement effort d’écoute et fatigue liée à la perte auditive. Auparavant, les appareils se focalisaient uniquement sur une source sonore (la voix) et occultaient le reste des sons autour. Cela s’est avéré être non optimal pour le fonctionnement du cerveau. Une révélation qui a permis un changement de paradigme dans l’audiologie en 2016 !